« …Bach au clavecin sous les doigts de la plus que prometteuse Lilian Gordis. »
Read More“But the most surprising and mesmerising thing here is the narrative strength of this take on Bach’s work, and its joyful abandon of scholastic spirit. This recording truly reflects life: its strangeness, oddities and baroque tendencies as well as its zest, luminosity and abundance. Without doubt, this is well worth a listen.” [ENGLISH]
“Mais ce qui, surtout, surprend comme envoûte ici, c’est la force narrative de ce Bach, qui abandonne toute forme d’esprit scholastique. C’est la vie, avec ses étrangetés, ses bizarreries, ses tentations absolument baroques, et aussi sa joie de vivre, sa luminosité, sa plénitude presque zen. A découvrir sans tarder.” [FRANÇAIS]
- Pierre-Yves Lascar
“Voici une Martha Argerich du clavecin !”
- Maciej Chiżyński
4 diapasons. Technique : 4/5.
“D’une manière générale, la claveciniste possède un vocabulaire étendu et une virtuosité épatante… Le rubato fait souvent mouche (K 474) mais peut aussi s’égarer dans une représentation appuyée du sensible (K 25), ou s’aventurer dans de sinueuses digressions (K 208).”
- Philippe Ramin
“Ne nous y trompons cependant pas : avec Lillian Gordis, la sensibilité voire la sensualité n’ont rien de mièvre ou d’alangui ; tout en félinité, la plus éperdue des caresses ne préserve en rien, la seconde suivante, de la douleur aiguë d’un imprévisible coup de griffes.”
- Jean-Christophe Pucek
“Hardie, comme son invention sonore, toute d'explosions, de brisures, de flux soudain contrariés, de soleils charmeurs et de géographies minuscules. Les pièces dessinées par Scarlatti forment ainsi des espaces plus ou moins imbriqués à traverser, fuir ou bien habiter.”
- Lionel Lestang, Valeurs Actuelles